
Une suite tardive au classique de Kurt Busiek et Alex Ross. Le dessinateur change, le propos se fait plus intimiste, et complète la saga Marvels en mode mineur.

Malgré un esprit et un scénario qui passent outre les évidences du sujet, cet ouvrage subit un dessin hasardeux qui plombe le résultat final.

Encore une fois, The Walking Dead nous surprend et nous entraîne avec plaisir dans un nouveau tome plein de surprises. Une belle suite qui augure un tome 13 encore plus détonnant.

Suite de l'adaptation du roman de Hobb, cette BD maintient son lecteur alerte et fortement réceptif, malgré une intrigue de fond qui semble calmer ses ardeurs et ménager son inspiration.

Ce deuxième tome des aventures philosophiques et collées d'un jeune homme qui évolue dans un monde compliqué reste, malgré quelques déceptions, une somme de bons moments.

Un album d'excellente facture réunissant des auteurs dont le talent n'est plus à prouver. Mais comme toujours dans les albums collectifs, une qualité parfois inégale.

Jimmy Palmiotti et Justin Gray, artisans du renouveau de Jonah Hex, signent ici le scénario d'une mini-série consacrée à Superman et à sa cousine kryptonienne. Probablement une œuvre de commande, à en juger par le résultat inepte et puéril, aussi mal écrit qu'ennuyeux à contempler.

Sur un thème somme toute classique venant de chez Soleil, on assiste ici à un assez bon travail d'exposition d'une mythologie, servie par une illustration étonnante d'inspiration et de familiarité.


Si vous avez besoin d'un bol d'air frais et que vous trouvez les comics parfois trop sérieux, alors cet album est pour vous ! Blagues sous la ceinture et situations abracadabrantes au rendez-vous !

Les auteurs étaient visiblement plus à l'aise avec la première partie, consacrée à l'exposition de l'intrigue, qu'avec ce deuxième cycle dédié à la vengeance du héros. Mais il reste encore (au moins) un tome pour boucler l'histoire.

L'empereur Renzong a fâché la divinité Ying Long en lui piquant son phénix. Va falloir régler ça très vite, car Ying Long est furax et c'est le peuple qui trinque.


Nävis participe à un cannonball pour sauver son avocat. Mais, comme toujours depuis un certain temps, elle se fait manipuler par un tiers. Morvan se fait un malin plaisir à compliquer son intrigue, quitte à nous faire perdre le fil.

L'enlèvement de l'homme politique anti-flamand, José Van de Coo, est très préoccupant pour les autorités politiques qui veulent éviter un conflit entre wallon et flamand. Mais cet enlèvement ne serait-il pas tout simplement crapuleux ?


Hervé, maniaque obsessionnel de la propreté, devient le diffuseur involontaire de tout ce qu'il voit, entend, sent. Et dans certaines situations, le don peut être incommodant. Sans compter la convoitise qu'il provoque.


Le deuxième épisode des gags de ce drôle d'oiseau est encore une réussite avec son humour parfois acide mais toujours absurde.

Dernier tome d'une trilogie en forme de réussite, sur un sujet pas banal traité avec non moins d'originalité par une équipe d'auteurs qu'on aimerait retrouver plus tard.




L'enquête sur la mort de trois jeunes femmes continue au milieu des tranchées. Et les indices semblent mener à une section de 15 salopards commandée par le caporal Gaston Peyrac.

Les Russes sont sur le point de signer la paix avec les Allemands. Georges Clémenceau s'en inquiète car la France va se retrouver seule. Il va donc falloir utiliser des méthodes extrêmes...