
Laissant un peu de côté les interventions magiques pour se concentrer sur les répercussions humaines de l'histoire, ce tome gagne en cohérence.

Adaptation en comics d'un jeu connu pour ses passages en vue subjective, cet ouvrage étaie un peu son propos et se résout dans une très bonne lecture.

Avec cette Eco : La Malédiction des Schaklebott, nous refermons un premier recueil de la trilogie vraiment fascinant, regroupant une histoire à la fois référencée, classique et symbolique, et une iconographie aussi singulière qu'hypnotisante.

Terreur est un album aux dessins magnifiques, servant hélas une intrigue qui l'est nettement moins. Même pas peur !

Après une collaboration somme toute assez médiocre, ce trio d'auteurs repart d'un bon pied sur une histoire sensiblement équivalente, pour un résultat bien plus encourageant.


L’arsenal loufoque mais puissant qui a fait la réussite du premier tome a été naturellement remis sur le tapis dans ce dernier.

Zep a le sexe happy et le parler franc, il croque avec justesse et dérision une amusante palette de situations embarrassantes et rappelle au passage qu'il peut traiter de personnages qui ont passé le stade de la puberté.


Un conte noir, étrange et muet, composé par Nicolas de Crécy en 2006 et réédité cette année pour la joie des amateurs de curiosité. Mais qu'est-ce que le Prosopopus ?...


Didier Convard s'essaie, avec Eric Adam, à la comédie noire, et pour autant que l'on puisse en juger, il a aussi ce talent.

Notre mère la guerre n'est pas un énième récit sur la guerre de 14-18. Trois femmes sont froidement assassinées. Et sur elles, à chaque fois, une lettre mise en évidence. Une lettre d’adieu...


Halloween aidant, le vampire revient faire un tour au rayon BD. Le Batman des années 90 est une exploitation de filon très graphique mais un peu longuette, tandis que l'anthologie proposée par Dupuis se divise en deux tomes de qualités inégales.

Les Dalton, Billy the Kid, Calamity Jane... Les sept derniers tomes de la période Dupuis sont riches en vedettes. Quelques répétitions, mais dans l'ensemble Goscinny assure comme une bête.

Deuxième parution de la collection Blackberry et toujours par Audrey Alwett, cette reprise des aventures de la petite fille riche qui deviendra pauvre (puis riche), sent un peu la nostalgie facile.

Second et dernier tome du polar sur Léonard de Vinci, mené par la paire Convard - Chaillet. De ces deux livres par ces deux auteurs, deux mots resteront : C'est tout ?



Quand j'ai connu mon Agathe
Ma jolie petite tomate
J'avais le coeur par-dessus tête
Et les pieds en bouquet de violette

4ème tome des aventures les moins fascinantes du monde, avec les acteurs les moins bavards qui soient. Sauf si c'est Poupon qui s'y colle.



Retour fracassant du biker en culotte courte et de sa sacrée famille. Un huitième album placé sous le signe de la tendresse.