6.5/10Zodiaque - Tome 9 - Le voyage du Sagittaire

/ Critique - écrit par plienard, le 09/11/2012
Notre verdict : 6.5/10 - Il ne faut pas trop tirer sur la corde (Fiche technique)

Tags : seiya zodiaque tome chevaliers manga saint corbeyran

Lecteurs du signe du sagittaire, cet album vous concerne.


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Amour : Une personne du sexe opposé fait irruption dans votre vie de manière totalement inattendue et fait battre votre cœur. Malheureusement, cette rencontre est assombrie par la perte d’un être cher.

Travail : Vous avez décidé de vous retirer et de vivre en ermite. Vous en avez les moyens, mais est-ce que cela n’est pas une fuite, de peur d’affronter la réalité.

Santé : Elle est bonne. Vous continuez à vous entraîner. Mais attention, il est parfois dangereux de jouer avec les lois du temps.

 

Enfin, le tome 9, Le voyage du Sagittaire, rehausse un peu les précédents albums de Zodiaque. C’est une histoire d’amour entre deux archers, le français Vincent Cavalier et la britannique Diana Bow, tous les deux membres de leur équipe nationale respective. Comme pour les autres albums, un personnage a un pouvoir, ici, c’est Vincent, le sagittaire, capable de voyager dans le temps et ainsi influencer l’histoire. Mais depuis la mort de sa femme lors d’une sortie en rafting – et dont il se sent responsable – il a décidé de vivre seul, accompagné uniquement de son chien Topaze et de ne plus utiliser son don. L’arrivée de Franck, le poisson, va pourtant lui faire changer d’avis.

Depuis le début de la série, c’est sans doute, le plus sympathique des personnages auxquels on a affaire. Sans réelle faille, sauf celle d’avoir triché aux jeux olympiques de Pékin, Vincent Cavalier est pourtant un personnage un peu plat. Il faudra chercher dans sa culpabilité pour lui trouver un peu d’intérêt. À contrario, Franck qui incarne le personnage du poisson, semble plus ambigu. Venu rendre visite à son ami, il va se comporter de façon grossière, voire injurieuse avec Vincent. On a hâte de voir l’album qui lui est consacré.

Au dessin, on trouve l’italien Luca Malisan qui a, notamment, mis en couleur des séries comme Section financière, SAS ou Le syndrôme de Caïn.

Le découpage de l’intrigue est en tout cas intéressante avec le début de l’album se recommençant à la fin comme un jeu de miroir inversé.


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