Mysteries remonte aux sources du polar et en tire finalement la sève dans une adaptation qui s'annonce comme très réussie.
Critique tomes 0 et 1 : Protecto est une série qui s'annonce assez dispensable parmi la pléthore de nouveautés à laquelle les bédéphiles doivent faire face en ce moment. Les deux premiers albums distillent et font se joindre passivement une multitude de petits déjà-vus.
80 jours est un album de très bon niveau, avec des qualités tant d'écriture que graphiques. Un beau poème sur les thèmes de la vieillesse et du temps qui passe.
Un album d'ambiance, dépressif et graphiquement très impressionnant.
Critique des tomes 7 et 8 : une série bande dessinée qui met la barre très haut dans le comique non intentionnel.
Pedro et moi est un ouvrage de référence de par son contenu et sa portée. Son impact émotionnel varie cependant énormément d'un lecteur à l'autre. A lire.
Critique des tomes 1 à 3 : léger, parfait exemple de ce qu'est souvent l'humour de genre quotidien, Le Stéréo Club est une série dans l'air du temps, mais de qualité.
Une BD qui est plus une oeuvre d'art et un jeu de sens qu'une histoire contée.
L'île aux loups semble annoncer une série pleine de tendresse, de compagnonnage et d'aventures. A mettre entre les mains des tous petits.
Lire Shooting star, Marilyn Monroe, c'est comme regarder un long film en avance rapide. On survole, on se précipite et, au final, aucune saveur ne nous reste en bouche.
Ce nouvel album devrait contenter une bonne partie des amateurs du genre quotidien mais en répugner quelques autres, sensibles à la nuance et à la consistance.
Chelsea in love est un roman graphique remarquable, bien que souffrant parfois de quelques problèmes de lisibilité.
Critique des tomes 1 et 2 : une oeuvre très surprenante, en dehors des codes habituels des récits de genre, qui va au-delà des mécaniques convenues. Certainement l'une des séries les plus novatrices publiées par les Humanos ces dernières années.
Ce premier tome de Polly et les pirates est une déception, tant au niveau éditorial qu'au niveau scénaristique et graphique. Franchement insuffisant.
Monographie prématurée est un ouvrage riche, dense, mais qui n'a d'autres destinataires qu'un petit public connaisseur, spécialisé et passionné.
Une oeuvre tout public, donc, même si l'atmosphère, un peu lugubre, déplaira aux enfants les plus sensibles. Le final de ce premier tome, très intriguant, pose la probabilité que La forêt de l'oubli dévie peu à peu vers le surréalisme complet.
Trois... et l'ange tient pour l'instant toutes ses promesses, même si le dénouement de ce deuxième tome peut sembler un peu abrupt.