Abbadôn Dub n'est pas une bande dessinée qui tiendra efficacement concurrence à de vieilles institutions déjà mises sur le marché.
Le tout offre un moment de lecture agréable, où nous découvrirons les clés du dénouement dans le prochain tome normalement. Espérons que l'auteur ne bâclera pas sa narration. L'aventure ne fait que de commencer après tout.
Franc parler gaillard, mise en image respectueuse de l'ambiance transmise, les amateurs de néopolar s'y retrouveront.
Une bande dessinée bien sympathique à découvrir et qui éveillera une certaine curiosité sur ce que nous réservent les prochains épisodes.
Ce quatrième mouvement se place bien en dessous des trois premiers, avec moins de ramifications et un intérêt faible pour le personnage de Nafsika.
Critique des tomes 1 à 3 : WEST noie le lecteur sous une avalanche de vignettes, d'écritures, d'information, pour finalement laisser une impression de vide psychologique, d'absence d'enjeux.
Au final on se retrouve avec une légère nausée due à l'overdose de mauvais goût visuel à suivre péniblement une histoire qui part dans tous les sens et qui paradoxalement n'avance pas beaucoup.
Hertz donne l'impression d'un produit daté, un scénario se déroulant dans le passé, des dessins vieillots et une trame qui n'intéressera guère que les lecteurs de la série Mère.
Interview de Laurent Verron le 25 septembre 2006
Paris Strass ne nous dévoile rien de l'envers du décor que nous ne savons déjà. Son rôle est simplement de caricaturer plus ou moins grossièrement pour distraire les populos que nous sommes.
Critique des tomes 9 et 10 : comme d'habitude, cette nouvelle aventure de Luka se laisse lire sans ennui. On ne peut pas pour autant dire que les auteurs cherchent à sortir des sentiers battus.
Léo et Lola est un outil jouant un rôle socialisant et censé donner des repères à une jeunesse s'initiant à la lecture.
C'est vraiment trop nul.
Arthur de Pins nous présente ici un album plutôt réussi notamment grâce à ses soins esthétiques.
Beaucoup moins novateur qu'Inner city blues, Harlem investit le genre « blackploitation » sur un ton humoristique somme toute très... franco-belge. Comprenez classique.
Ce premier tome des aventures oubliées de Münchhausen saura convaincre les amateurs du personnage. Comme on s'y attendait, fantaisie, onirisme et enchaînements surréalistes sont au rendez-vous.
L'anatomie de l'éponge est un véritable tour d'acrobate. Tout en énumérant ses influences et en racontant les moments incongrus de sa vie sur un ton déchaîné, Guillaume Long passe d'un style à l'autre, en même pas deux cases.
Ce premier tome de Nero augure une très bonne série, un album indispensable pour les amateurs du genre noir, sympathique pour tous les autres.