



Le cinquième et dernier tome de la série donne une conclusion logique et sans surprise, dans la digne lignée de tout ce qui précédait.


Long John Silver a perdu la carte menant au trésor de Guyanacapac lors de la mutinerie. L'état du bateau est particulièrement inquiétant, et il menace de s'éventrer dans les heures qui viennent. Il va falloir trouver le chemin coûte que coûte.

Les forces du mal et du bien sont à la recherche d'un couteau qui est tombé entre les mains de Zuel qui devient, de fait, l'héritier du trône des enfers. Va-t-il l'accepter ?


Avec ce premier tome, Giroud et Brahy amorcent une saga construite autour de l'aventure aéronautique, où la passion des acteurs déteint sur les lecteurs.





Boule et Bill se mobilisent pour nous faire revivre leurs aventures dans un album pour lequel sera versé à la SPA un euro à chaque achat.

Cet ouvrage exposant un superbe travail graphique, tout en texture et en ressenti, n'a malheureusement pas beaucoup plus à proposer, et peut-être justement à cause de ça.



Depuis vingt ans, le disciple de Léonard n'est plus payé. Pour pouvoir vivre, il revend secrètement les inventions du génie. Mais ce qui devait arriver, arriva. Léonard l'apprend et le disciple doit ramener l'ensemble des inventions à l'atelier, en tirant la langue sous le poids évidemment ...

Deux jeune gallois, traînant avec des hippies, vont prendre peu à peu des chemins différents. Le narrateur va trouver du travail quand son ami va peu à peu s'enfoncer dans la marginalité et l'exclusion. Une amitié peut-elle résister à cela ?

Un album spécial dans lequel Frissen fait participer 38 dessinateurs pour un résultat délirant et rafraîchissant. El Gladiator est la victime désignée pour une aventure délirante qui va à 100 à l'heure.


Quand la saleté confine à l'art, que le malaise est palpable et que l'on a honte de sa propre excitation. Un livre qui ne laisse pas insensible au-delà de la notion de goût est toujours un bon livre.

Le monde des amateurs de BD, lecteurs et libraires, croqué par Sergio Salma et Libon. Un peu répétitif sur la longueur, mais beaucoup de justesse et de malice.

