Glénat : Game over T14, Le Scrameustache T43

/ Critique - écrit par plienard, le 08/10/2016

Tags : game glenat over midam video kid paddle

Les éditions Glénat nous invitent à découvrir la plus longue série de leur catalogue et une toute nouvelle qui vient de l’intégrer mais qui en est déjà à son 14ième album.

Game over – Tome 14 : Fatal attraction – note : 7/10

Après Dupuis, après MAD Fabrik, ce sont les éditions Glénat qui prolongent la belle histoire de la série Game over, le spin-off de Kid Paddle. Ses auteurs, Midam, Adam et Benz enchainent encore plus d’une quarantaine de pages de gags avec toujours la même dynamique et la même finalité : game over pour le petit barbare ou la belle princesse.


©Glénat édition 2016.

Et cette fois encore, les gags sont tous plus originaux les uns que les autres : picoré par des oiseaux, dissous par une pluie acide, écrasé par un éboulement, gelé dans un lac , brulé, mangé par un chien-blork, écrasé par un blork-éponge, dynamité à la nitroglycérine, empalé comme une brochette, transpercé par des lignes de code barre, écrasé par un rocher, j’en passe et des meilleurs.

La grande force de tout ceci, c’est que même si ça finit toujours de la même manière, on a toujours l’impression de lire un nouveau gag. Un seul reproche, déjà fait par ailleurs : ça se lit trop vite !

 

Le Scrameustache – Tome 43 : Les caprices de Cupidon – note : 6/10

La plus longue série des éditions Glénat s’enrichit d’un nouvel album. Le Scrameustache va vivre sa 43ième aventure en protégeant Khéna des affres de l’amour et d’une mystérieuse jeune fille qui lui tourne autour. Le lycéen est en effet un peu bizarre en ce moment. Et ce n’est pas la période des examens qui explique tout. Depuis quelques jours, il refuse que le Scrameustache l’accompagne. Ce dernier est d’ailleurs préoccupé par un mystérieux signal qu’il ne parvient pas à identifier. Cela a-t-il un rapport avec l’attitude de Khéna ?


©Glénat édition 2016.

Depuis plus de 40 ans, Gos et Walt président à la destinée du chat extraterrestre et de son ami terrien Khéna. Ils auront écumé l’espace, remonté le passé et voyagé dans le futur (comme dans cet album). Ici, on reste un peu déçu par les explications sur le comportement de la séductrice  Prisca, pas forcément très claires. De même, l’attitude de Khéna, amoureux de la princesse Iridia, pose question pour un personnage de ce type, censé être irréprochable. Et si on veut bien admettre qu’il ne le soit pas totalement, une explication franche aurait été nécessaire avec sa bien-aimée.

Mais cet épisode porte bien son titre car Cupidon est bien à l’œuvre et l’oncle de Georges fait aussi partie des cibles. Un album classique qui continue l’univers et qui va bientôt fêter ses 45 ans !


Les couvertures des 2 albums - ©Glénat édition 2016.